Souvent, quand on parle d’écoquartiers, on lie ce terme à la notion de densité: on dit que un écoquartier est un quartier dense et urbain, car seule une forte densité permet la survie des services et activités (commerces de proximité, transports publics, mobilité douce) qui caractérisent un environnement construit respectueux de l’environnement.
Déjà, on peut démontrer que la densité n’est pas un critère suffisant pour garantir un style de vie écologique. Dans l’image ci-dessous sont représentées des constructions à densité croissante, dans lesquelles le 100% des habitants continue à utiliser sa voiture, et les activités sont concentrées dans des centres commerciaux et des centres directionnels.
À l’envers, on peut dessiner une ville dans laquelle, même avec des basses densités, les habitants utilisent transports publics et mobilité douce, et les activités (petits commerces, bureaux) sont mélangées avec l’habitat.

Donc, étant donné que la densité n’est pas le facteur déterminant, quels sont les éléments qui rendent un quartier un écoquartier?
Nous en avons trouvé trois:
Dans les prochains billets, nous examinerons en détail chacun de ces trois éléments.
[…] Comme résultat collatéral de cette démarche, la densité des quartiers de villas augmente (là où il y avait une famille, maintenant il y en a deux), en permettant ainsi d’arriver à une masse critique permettant d’installer des commerces de proximité et d’améliorer…. […]
[…] ces conditions, la zone 5 pourrait devenir un lieu intéressant, où il s’alternent maisons de taille et standing différent, et où se mélangent habitat et […]
[…] à basse densité, pour pouvoir grandir par le biais de constructions relativement petites et projets relativement simples. […]
[…] = quartiers denses » (notamment par rapport à l’usage de la voiture), mais cela n’est pas toujours vrai: on peut avoir des quartiers très denses, dans lesquels la voiture est prédominante, et des […]
[…] coiffeur, gérant d’un tea-room ou d’un petit commerce… Dans ce cas là on profite de la tranquillité des banlieues résidentielles (parfois même davantage que les gens qu’y habitent qui, eux, sont occupés à travailler dur […]
[…] gérant d’un tea-room ou d’un petit commerce… Dans ce cas là on profite de la tranquillité des banlieues résidentielles (parfois même davantage que les gens qu’y habitent qui, eux, sont occupés à travailler dur […]